Alors que ses chances de s’assoir sur un fauteuil de député s’est éloigné Madiambal Diagne, de la liste « Jamm ak njarin » a promis de revenir plus déterminé à remettre notre pays dans le sens de la démocratie, de l’État de droit, du progrès, de la prospérité.
A l’attention des compatriotes, il a indiqué que ce 17 novembre 2024, ces derniers ont exprimé leur profond sentiment sur l’état de notre démocratie et de notre République. « Le fort taux d’abstention est un signal de votre désintérêt grandissant pour la chose politique. Néanmoins, les électeurs, qui se sont exprimés, l’ont fait en toute liberté et leurs votes traduisent un choix clair, sans la moindre ambiguïté. Ousmane Sonko et sa formation politique Le Pastef ont été plébiscités. Le peuple souverain a tranché et est resté fidèle à son vote de mars 2024, lors de l’élection du Président Bassirou Diomaye Faye » dira-t-il.
Selon le journaliste, il revient à la classe politique de se racheter pour rendre à cet art majeur ses lettres de noblesse. « Lorsque j’ai décidé de m’engager dans la liste Jamm ak Njëriň, ma priorité était de ramener sur la scène politique le souci du comportement vertueux, du discours de vérité, de l’intérêt général en y défendant les valeurs humanistes d’une démocratie républicaine. Il a d’ailleurs promis de retourner tâter le pouls de notre pays et écouter la respiration de notre Nation, ses aspirations légitimes.
« Je reviendrai plus déterminé à remettre notre pays dans le sens de la démocratie, de l’État de droit, du progrès, de la prospérité ».
Pour finir il a tenu à relever, qu’en votant pour une liste qui n’a aucune proposition d’avenir à présenter, la majorité des électeurs a exprimé certes un désir ardent de rompre avec la manière de faire de ces dernières décennies. « Elle devra en assumer la responsabilité. Un ami a tenu à m’envoyer un message, après l’annonce des premières lourdes tendances du vote, dans lequel j’ai lu un mot de l’écrivain russe Anton Tchekhov selon lequel: Dans les sociétés défaillantes, la majorité est toujours ignorante et l’homme raisonnable est toujours vaincu ». Je refuse de prendre les choses de la sorte. Je veux croire qu’en démocratie, les peuples ne se trompent pas » conclut-il.